Promouvoir ses livres et les rendre visibles sur internet et ailleurs – partie 2/2

JOUR n° 1 :

1/ Promotion avant / pendant / après la publication

2/ Perma-gratuité

3/ De l’intérêt de créer un site internet

 

JOUR n° 2 : (vous y êtes)

1/ De l’intérêt d’une newsletter

2/ Les promos Facebook et Twitter

3/ Les mots-clés de vos ebooks vendus sur Amazon

4/ Variations sur un même thème : l’uniformité des campagnes de publicité est un tue-client.

5/ La multiplication des points de vente : bon plan, ou fausse bonne idée ?

6/ Un petit zoom sur le livre papier

7/ Zoom sur la « presse-papier », les SP (livres papiers), la communication « tradi ».

8/ Travail croisé entre illustrateur et auteur

Conclusion.

 

Or donc, Hier, nous avons commencé à étudier comment un livre pouvait être rendu un peu plus visible sur la toile.

Nous avons abordé le sujet des opérations marketings pouvant être opérées avant / pendant / après la publication (sans prétendre à l’exhaustivité), puis la notion de perma-gratuité, avant d’évoquer la mise en place d’un site internet.

Aujourd’hui, nous allons rapidement embrayer sur d’autres méthodes, notamment la mise en place d’une newsletter. C’est quoi donc ? C’est ce que nous allons voir ensemble dès à présent :

 

1/ Mettez rapidement en place votre newsletter et soignez la bien :

Faites mieux que moi, inspirez-vous plutôt de Nathalie Bagadey (http://www.nathaliebagadey.fr/) ! (tiens, bon exemple de pub pour le site d’un autre auteur !)

Vous pouvez utiliser mailchimp (mon choix, gratuit jusqu’à 2000 abonnés) ou aweber, ou d’autres que je ne connais pas.

À quoi sert une newsletter ? Elle est la passerelle entre vos clients et vous. Ce lien qui fait que vous pratiquez la vente directe et qui vous permet donc d’être plus efficace, normalement, qu’en vous contentant de lâcher votre œuvre sur Amazon et de serrer les fesses et les dents en espérant que les lecteurs vous repéreront.

Elle sert aussi à informer vos lecteurs de vos promos (et de celles de vos confrères publiant dans le même genre que le vôtre ! promotions croisées = succès assuré ! enfin, peut-être ^^ ), de l’avancement de vos projets. Par son intermédiaire, vous pouvez poser des questions à vos lecteurs, savoir ce qui les motive, les intéresse, etc.

En un mot, vous gagnez en « Proximité » ! Le commerce « direct », ça vous parle ? Sans intermédiaires ? On est en plein dedans, surtout si vous êtes capables de vendre via votre propre site. Directement du producteur au consommateur !

Si vous parvenez à impliquer vos lecteurs et à les transformer en fans, c’est gagné ! Ils relaieront la « bonne parole » et la foule de vos fidèles apôtres grossira avec le temps. Sinon, préparez-vous à quelques années de vaches maigres, hélas…

 

2/ Les promos Facebook et Twitter ?

Non. Oubliez pour le moment, vous n’êtes pas assez connus ^^ Paradoxal, n’est-ce pas ? Vous aurez beau mettre un joli bandeau sous le nez de 10 000 « personnes », si vous n’êtes pas un minimum connu (çàd : si vous êtes trop bas dans les classements, et que vous ne disposez pas déjà d’une bonne « fan base » — vous savez, ces gens qui relaieront votre pub facebook ?), votre message ne sera pas relayé (hé non !) et n’atteindra donc pas grand monde. Mais ça vous coûtera de l’argent, par contre.

Je vous rappelle que nous parlons de Facebook, là. Vous êtes concentré sur les pubs et pages « suggérées » quand vous surfez sur Facebook, vous ?

Idem sur Twitter, mais en pire. Les tweets passent tellement vite qu’ils ne laissent pas forcément beaucoup de traces de leur passage…

Si vous voulez absolument utiliser les pubs Facebook, dirigez plutôt les clics vers le lien permettant l’inscription à votre newsletter plutôt que vers votre page auteur Amazon / iggybook / iobooklaunch / etc.

Pourquoi ? Parce qu’une fois que les gens sont abonnés à votre newsletter, vous pouvez leur parler, donc les « appâter », chose que vous ne pouvez PAS faire avec vos éventuels clients Amazon. Forcément, puisque vous ne savez pas de qui il s’agit, vous ne pouvez donc PAS les contacter, contrairement aux abonnés de votre newsletter.

En plus, avec un peu de chance, une partie liront le cadeau que vous envoyez à vos nouveaux abonnés et du coup ils se prendront d’amour pour votre style et achèteront peut-être votre prochaine publication / vos précédentes publications.

Les autres, pas convaincus :

1/ se désabonneront (au revoir ! J)

2/ ne mettront probablement pas de commentaires négatifs sur Amazon puisqu’ils ne vous auront pas découvert via Amazon mais via votre newsletter. Ils ne seront donc pas un handicap. C’est le défaut de la perma-gratuité : des gens téléchargeront votre publication, alors qu’ils ne l’auraient pas fait si vous aviez été « payant ». Certains n’aimeront pas et vous le feront savoir. Ce n’est pas parce que c’est gratuit qu’un lecteur ne sera pas virulent s’il déteste. ^^

 

3/ Apprenez à jouer avec les mots clés de vos ebooks vendus sur Amazon :

J’ai appris pas mal de choses à ce sujet avec le livre de Nick Stephenson (Supercharge your kindle sales : simple strategies to boost (…) ). J’ai appris des trucs sur la façon de gérer les mots clés et la présentation de mes « Chroniques d’une humanité augmentée », notamment qu’il valait mieux l’allonger au maximum. Il semblerait qu’Amazon ne prenne pas en compte (ou qu’il prenne « moins » en compte) les descriptions trop courtes.

En synthèse, Amazon n’est autre qu’un gigantesque moteur de recherche et il s’agit d’accroître vos chances d’apparaître en tête de liste dans les classements qui ne sont pas liés au nombre de ventes, mais à la pertinence de votre livre par rapport aux mots clés entrés par le lecteur potentiel.

Pendant que j’y pense, il existe un outil permettant de voir l’évolution de votre classement avec le temps : il s’agit de la plateforme Authorcentral, qui n’est autre que la plateforme sur laquelle se trouve votre page auteur Amazon (la mienne se trouve ICI) !

Il me reste à lire le livre « let’s get digital » de David Gaughran. Il a l’air très complet lui aussi, mais je ne peux évidemment pas vous garantir qu’il changera votre vie, ne l’ayant pas encore lu.

 

4/ Variez vos moyens de communication :

a/ J’ai vu passer récemment une initiative intéressante (un « quizz ninja »), à l’initiative de Marie-Bo. Il s’agit, via un quizz, de faire découvrir des auteurs indépendants.

En tant qu’auteur, il est possible d’y participer ! Cliquez ICI pour savoir comment faire.

b/ Bruno Challard, de son côté, a lancé une foire aux cadeaux des auto-édités.

c/ Des campagnes de communication croisées peuvent être organisées entre 2 auteurs, chacun parlant dans sa newsletter de son confrère, de façon à motiver ses abonnés à s’abonner aussi chez le confrère. Bien sûr, ça fonctionnera mieux si les deux auteurs ont un univers / un genre similaire. Vous pourriez même permettre à vos abonnés de télécharger l’ebook d’un autre auteur (avec sa permission, bien sûr) ! L’idée étant de ne pas passer votre temps à vous vendre, vous, mais que vous n’hésitez pas à aider vos confrères.

d/ Donnez de petites informations sur votre livre sans en avoir l’air (hé, vous avez vu, j’ai fait x ventes / j’ai eu tel commentaire à tel endroit, qu’en pensez-vous ? / J’hésite entre telle et telle couverture, que me conseillez-vous ? / etc.

L’idée étant d’impliquer vos contacts dans la vie de votre livre, mais sans leur dire « achetez-le ! ». Certains vous l’achèteront peut-être, ou peut-être pas, qui sait ?

Mais surtout, par pitié, ne faites pas de tabassage en règle de vos contacts ! ^^

 

5/ Multiplier les points de vente, ou pas ?

Alors là, c’est une bonne question ! Les avis divergents.

Avantage de la multiplication des points de vente : vous « touchez » plus de clients potentiels.

Avantage de publier de façon exclusive sur une unique plateforme : vous pouvez concentrer vos efforts en termes de communication et vous accroissez a priori plus rapidement votre visibilité.

 

Exemples de plateformes :

Amazon

Google Play

Itunes (pas facile de vendre en direct chez eux : il faut obligatoirement avoir un mac. Étrange, non ? Sinon, vous pouvez vendre sur leur plateforme via smashword)

Iggybook

Fnac (via kobo)

Immatériel (mais il faut passer par une maison d’édition, je crois bien)

Votre propre site internet (via woocommerce pour wordpress, par exemple, avec paiements par paypal : attention à leurs frais !)

www.bod.fr

www.lulu.com

(… j’en oublie sûrement…)

Electre et Dilicom sont deux bases qui alimentent les libraires et permettent donc d’accéder à ces points de vente.

Attention : dans le cas d’Electre, même s’il est possible d’y accéder en tant qu’auto-édité, il semble que vous allez devoir leur « montrer patte blanche ». Voire même forcer la main aux responsables d’Electre en leur envoyant votre livre pour leur prouver votre professionnalisme.

Pour ce qui est de Dilicom, il est tout à fait possible de s’y inscrire en tant qu’auteur indépendant. Je ne l’ai pas fait, cela dit, je ne sais donc pas si la procédure est complexe, ou pas. J’ai eu les deux sons de cloche concernant la complexité du site. En tout cas, il semble assez peu esthétique, à première vue.

 

6/ « Livres papier » :

Il n’y a pas, là non plus, 36 possibilités : il faut se rendre visible. Et la moindre des choses quand on veut être visible, c’est votre livre soit disponible.

J’ai déjà évoqué Electre / Dilicom hier, il y a bien sûr aussi createspace, le service d’amazon dédié à la vente de livres papiers et tant d’autres encore (tels www.BOD.fr — « book on demand » —, par exemple, qui garanti l’accès au réseau Dilicom, notamment)…

Mais surtout, il y a les salons, espaces culturels et autres séances de dédicaces.

L’important, dans ces trois derniers cas de figure, c’est la présence des auteurs / vendeurs. C’est vous qui ferez (ou pas) pencher la balance. Ceux des auteurs pratiquant les ventes sur salon me l’ont bien dit : sans présence physique, les ventes sont molles, voire très faibles.

C’est notamment le défaut majeur du dépôt-vente chez un libraire, soit dit en passant. Ne vous attendez pas à des merveilles, à moins de tomber sur un libraire qui fera le forcing à votre place auprès de ses clients. Chouchoutez-le, celui-là !

D’une manière générale, sachez-le, les centres culturels Leclerc sont réputés plus ouverts vis-à-vis des auto-édités que les libraires. J’ai déjà vu de nombreux auteurs indépendants annoncer des séances de dédicace en centre culturel.

Bien sûr, il y a des libraires 100 % ouverts aux auto-édités !

Quand aux magasins Fnac, pour y être accepté sous format papier, il paraît que c’est « simple » (façon de parler) : il faut convaincre le responsable de rayon. Celui-ci inscrira alors votre livre dans son registre et hop, vogue la galère ! Mais si vous voulez avoir une chance, soignez votre présentation, celle de votre livre, de son packaging, votre discours, etc. En un mot, soyez « Pro » !

 

7/ La presse « papier », les SP, les interviews dans via les moyens de communication « traditionnelle » :

Je vais commencer par un petit conseil gratuit : « think local » / « pensez local ».

Bien sûr, ce ne sera pas vrai pour tout le monde. Bien sûr, on dit « nul n’est prophète en son pays ». Oui, bon, d’accord.

Mais sincèrement, malgré le poids qu’a pris internet dans notre vie, je il n’en reste pas moins vrai que la parole / l’avis d’une personne que l’on côtoie, que l’on croise « irl » (« in real life » / « dans la vraie vie ») compte souvent plus que celle d’une personne uniquement rencontrée sur le net.

Attention : il ne s’agit pas de dénoncer les relations « virtuelles » (qui, sans doute aussi souvent que dans la « vraie vie », peuvent devenir de « vraies » relations). Il s’agit de bien reconnaître que les mêmes arguments auront souvent plus de poids en face à face que par le téléphone ou internet.

D’où mon « think local », que l’on pourrait reformuler ainsi :

=> Commencez par vous faire connaître autour de vous !

Le journaliste qui habite dans votre rue (ok, il faut le trouver, celui-là ^^), le service communication de votre mairie, les responsables de la médiathèque locale / etc., auront moins de freins à accepter de soutenir un auteur « du cru » qu’un auteur inconnu vivant à l’autre bout de la France.

En ce qui me concerne, j’ai démarché la mairie de Rueil en juillet l’an passé et en décembre, ils m’ont contacté pour une interview. Elle est d’ailleurs parue sur le « Rueil Infos » de janvier 2015. Vous pouvez lire l’interview en question (et voir ma photo !) en page 35. Je compte renouveler l’expérience lors de la sortie de mon prochain roman (« Le Chant de l’Arbre-Mère »).

CITATION : Pour rappel : ce roman fait partie de la foire aux cadeaux de l’auto-édition. Dans ce cadre, vous pouvez présouscrire, gratuitement, et obtenir ainsi de recevoir le roman, épisode par épisode, directement dans votre boite mail !

Pour en savoir plus sur ce roman, vous pouvez soit en lire le premier épisode gratuitement sur Wattpad, soit consulter sa page booklaunch.io.

 

C’est un peu pareil pour les SP (services de presse) : vous pouvez choisir d’envoyer votre livre papier aux 10 chroniques littéraires les plus en vue de la presse papier. Ça vous coûtera des sous, youpi, mais ça ne débouchera probablement pas à moins de les connaître en personne. On en revient toujours là : oui, sans piston connaissances dans le milieu, vous n’aurez que peu de chances d’exister.

Et justement, vous avez un ami dans le monde de l’édition ! On en a déjà parlé hier, il s’agit de Livr’addict ! Oui, ils font aussi du SP en format papier et acceptent volontiers les indépendants. J’ai vraiment envie de tester ça. Le ferai-je sous format papier ? Peut-être, mais en nombre très limité, dans ce cas. Je ne suis pas du genre à me lancer à corps perdu dans une aventure incertaine ! 🙂

 

En dehors de Livr’addict, contactez des chroniqueurs plus en vue en même temps que votre popularité grandira (mais n’oubliez pas ceux qui vous ont soutenu au début, bande d’ingrats !). Autrement dit : envoyer des livres papier en SP, oui, mais seulement à coups sûrs ! Autrement dit, seulement si vous savez que la personne à qui vous l‘envoyez 1/ le lira et 2/ aura de bonnes chances d’aimer votre roman / recueil / etc.

Chaque livre que vous envoyez, c’est autant de CA en moins, n’oubliez pas ! Idem pour le coût du timbre. Alors, faites en sorte que cela ne compte pas pour du beurre !!! Vous n’avez pas les moyens d’arroser au petit bonheur.

Ou alors, faites-le par l’intermédiaire d’un attaché de presse. Ce dernier vous apportera son carnet d’adresses, ce qui permettra, normalement, de maximiser l’impact de cet abandon volontaire de chiffre d’affaires.

Nota : si vous-même êtes attaché de presse, c’est le moment : faites votre promo en commentaire de cet article ! J.

Par définition, un indépendant est libre d’utiliser les services de « qui il veut » pour l’aider à promouvoir son livre. Bien sûr, il ne faut pas oublier cette petite bête que sont les « coûts cachés », ceux-là mêmes qui pourraient vous empêcher de gagner un jour de l’argent même en vendant 500 livres. Recourir à trop « d’auxiliaires » pourrait grever trop sévèrement votre marge, alors faites attention, quand même. Idéalement, définissez un business plan !

 

8/ Travail croisé entre Illustrateur et auteur :

C’est le dernier point que j’aborderai. Il m’est venu en tête au tout dernier moment, mais c’est vrai que c’est une idée qui me trotte dans la tête depuis quelque temps. Je pense qu’auteurs et illustrateurs ont intérêt à travailler « main dans la main ». À ce titre, j’essaye d’établir des relations fructueuses avec les illustrateurs / illustratrices dont je croise la route.

Je suis donc actuellement en collaboration avec 2 illustrateurs (dont celui qui m’a fait les couvertures de mes « Chroniques d’une Humanité Augmentée » et de mon « Chant de l’Arbre-Mère », et en plein démarchage d’un troisième. J’aimerais sortir un artbook complet pour venir épauler un mien projet de fantasy, et cela semble en bonne voie de se concrétiser

Et au-delà de l’artbook, il y a encore tout un univers qui s’ouvre ! Qui a dit « roman graphique » ? Bon, si je vais dans cette direction là un jour, ce sera avec prudence, quand même.

Je pense, en tout cas, que le travail de l’illustrateur ne devrait pas se limiter à faire la couverture et puis au revoir. Je pense notamment aux séances de dédicaces : j’espère vivement parvenir à en faire un jour et, à ce moment, je ferai tout mon possible pour me faire accompagner par au moins 1 de mes illustrateurs ! Il semble que cela contribue nettement aux ventes, en tout cas. 🙂

 

Bon, sur ce, il se fait tard, je suis fatigué, et toussa.

 

Bref : en guise de conclusion, je dirais qu’il est évident que j’ai loupé pas mal de façons de faire la promotion de son livre. Alors, n’hésitez pas à signaler VOTRE façon de faire votre publicité, si le cœur vous en dit. J’ajouterai les idées les plus intéressantes dans l’article et j’essaierai de les tester !

 

Vous pouvez faire un peu d’auto-promo en commentaire de cet article, alors allez-y. 😉

 

En attendant de récolter vos avis, trucs et astuces, je vous souhaite de passer une bonne soirée !

Et, bien sûr, je vous remercie d’avoir lu (et partagé!) ces deux nouveaux articles de la Taverne Blévalienne ! 🙂

 

12 réflexions sur “Promouvoir ses livres et les rendre visibles sur internet et ailleurs – partie 2/2

  1. Pingback: Promouvoir ses livres et les rendre visibles sur internet et ailleurs – partie 1/2 | L'Auberge Blévalienne
  2. Article tout aussi intéressant que le premier ^^
    Concernant les « fans », c’est très important ! Dans le jeu vidéo indie, il y a la théorie des « 1000 vrais fans » c’est à dire, si tu as mille personnes, qui apprécient ton travail, l’achètent systématiquement et relaient tes communications, alors tu peux vivre de ton art. Le jeu vidéo est très cher à produire, donc, pour un livre, je pense que la barre est plus faible, en même temps le prix de ventes est moindre… ^^

    J’ai été voir le site de nathalie, en effet, très bien fait; J’aime beaucoup sa « landing page » (page où elle liste les avantages à s’inscrire, ce n’est pas un acte anodin de laisser son email à quelqu’un ^^)
    Si tu veux des idées de newsletters, j’en ai fait une aussi, j’essaie qu’elle soit un peu fouillis/bazar avec différentes rubriques et du blabla ^^ le tout avec une maquette type magazine (**attention promo** oO http://ghaanima.com/inscription). J’aime beaucoup Mailchimp pour ça, c’est facile de mettre en page sans avoir à coder! Et leur système de gestion d’images est pratique. Et gratuit! 2000 abonnés, je pense qu’il faut du temps pour les atteindre 😉 Mais la fonctionnalité d’autoresponding et toute l’automation n’est pas dans la version gratuite. Or, si on devient sérieux avec le marketing par email, c’est important… (10$/mois jusqu’à 500 emails pour y avoir accès). Pour revenir sur le contenu, j’aime aussi beaucoup ta newsletter, j’aime le fait d’avoir un plan et que tu parles de l’actualité littéraire en général (comme l’appel au financement pour le salon ^^).
    Finalement, une newsletter est toujours à l’image de la personne qui l’envoie, c’est important qu’elle soit personnalisée ^^

    Sinon commentaire général à la lecture de tes 2 articles: OMG!! oO I’m gonna die! Trop de choses à faire!
    C’est ça être indie, c’est être sur tout les fronts, mais ça fait peur! Qu’elles sont les axes prioritaires pour toi?

    merci ^^

  3. Bonsoir Pascal,

    Bel article, une fois de plus. État des lieux de ce qu’on peut faire pour se promouvoir. Du bricolage, bien sûr, mais pourquoi pas ? Chaque livre et chaque genre bénéficiera plus ou moins de telle ou telle stratégie. À nous de tâtonner, de chercher, de persévérer. Le perdant est celui qui abandonne.

    Les promos Facebook sont intéressantes pour vendre une promo gratuite, mais attention au ciblage et à la qualité de la pub.

    Quant à Nick Stephenson et David Gaughran, ils sont passionnants, mais la plupart de leurs conseils ne fonctionnent pas aussi bien en France.

    Quand on lit cette liste, on se dit que ce sera impossible. Sauf qu’on n’est pas obligé de tout faire en une fois. Cinq minutes de marketing par jour apportent déjà beaucoup.

    Guy Morant

  4. Hey, merci Pascal !! J’ai été informée de cet article par une nouvelle abonnée, alors que je suis moi-même abonnée à ta newsletter, lol !
    J’ai dû zapper ça au milieu de mon activité frénétique de juin (j’étais à Londres apparemment au moment de la parution de ton article).
    En tout cas, merci d’avoir mentionné mon nom et mis un lien vers chez moi. Je pense que cet article-ci serait plus utile comme il explique comment je m’y suis prise pour faire mes formulaires MailChimp : http://www.nathaliebagadey.fr/lancement-de-nota-bene-la-newsletter-de-nathalie-bagadey-a117505242
    Et je suis en train de finaliser « Autoédition : à vous de jouer ! », où j’explique mon parcours et donne des conseils, j’espère qu’il sera utile. 🙂 D’ailleurs tu m’as donné deux nouvelles idées, alors je te citerai dedans ! 😉
    Bises et bonne continuation à toi !

    • Hello Nathalie ! Je pensais que wordpress t’avait averti de mon « tag », en fait. ^^ Je ne manquerai pas de me rendre sur ton article, parce que plus ça va, plus je me rends compte que j’ai du mal avec la mise en forme de mon « sign up form » et de ma newsletter elle-même.

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