il faut croire que ce n’était pas suffisant…

Oui, vraiment, il faut croire que ça ne suffisait pas…

Mais que se passe-t-il de beau dans les bureaux des Éditions du Scalp (maison d’édition fictive bientôt plus connue sous le nom « les édition Imaginaria ») ? C’est vrai ça, je n’ai pas donné de vraies nouvelles de ma production depuis quelque temps, déjà. Même pas une petite nouvelle gratuite depuis… Ouh là, depuis ce texte, « un passé plein d’avenir », datant du 26 mai dernier et cet autre texte, « mes vacances chez les grands », datant du 15 mai dernier… Depuis, j’ai surtout commis des billets informatifs sur des sujets liés à la rentabilité de l’édition, notamment.

Bon, ceci dit, je ne chôme pas pour autant…

J’avance sur l’écriture de « Le Chant de l’Arbre-Mère », ma prochaine parution de SF. Je pensais avoir terminé, si, je vous assure ! J’ai même eu le retour de ma correctrice, Emmanuelle Lefray.

Soit dit en passant, j’ai bien fait de requérir ses services. Elle m’a signalé de deux cents coquilles environ, quand même. Vous imaginez la réaction du lecteur payant face à toutes ces coquilles ? Je n’aurais pas aimé voir ça.

Il en restera sûrement, des fautes, même si le texte repassera une fois de plus sous ses yeux bioniques, mais « à l’impossible nul n’est tenu », quoi.

Pour rappel, j’en ai déjà parlé ici : le « degré zéro de la faute » n’existe pas ! C’est un mythe, une légende. On pourrait comparer cet objectif illusoire avec une sorte de dahu littéraire, la correctitude (comme ça, ce mot n’existe pas ?) grammaticale étant censée séparer le bon grain de l’ivraie, c’est-à-dire bien souvent l’auteur édité de l’auteur autoédité. Warf.

Attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : il est important de présenter aux lecteurs des textes aussi propres que possible !

Bref. Poursuivons…

J’avançais donc plutôt bien sur ma prochaine publication, j’étais dans la dernière ligne droite, quand je me suis dit :

« Tiens, et si je publiais aussi un mini art-book, en plus du roman ? Il prendrait la forme d’un recueil de six nouvelles (une par personnages du « Chant de l’Arbre-Mère ») et chacun des textes serait illustré. »

L’idée m’a tenté. J’ai réussi à convaincre un illustrateur et j’ai foncé !

Le résultat, c’est qu’à l’heure où je vous parle, j’ai rédigé quatre textes portant sur les trois personnages avec un côté « militaire » : Hank Turner, Lana Jovrain et Suraya Manariva.

J’ai aussi commencé à plancher sur le texte suivant (celui de Vince Chevron).

Pour le moment, j’en suis à 15 000 mots. J’imagine donc que l’ensemble fera environ 25 000 mots. Peut-être plus, peut-être moins, qui sait ?

En conclusion : c’est loin d’être le simple, léger et rapide addendum que je comptais produire initialement ! 😀

Ceci étant dit, j’espère avant tout que ces textes vous plairont et qu’ils vous aideront à encore mieux cerner mes personnages.

Les six textes concernés seront publiés en un recueil unique, séparé du roman, au tarif de 0,99 €, pour info. Ce ne sera pas une exclusivité Amazon, par contre.

Autrement dit, tous les formats de lecture vous seront proposés !

J‘en profite pour vous rappeler que vous pouvez obtenir ce recueil et le roman du « Chant de l’Arbre-Mère » gratuitement par email (en version numérique exclusivement, donc) en vous abonnant tout simplement à ma newsletter.

Je compte également faire profiter mes abonnés d’un jeu-concours, avec des chèques-cadeaux Amazon à la clé. Comme je l’ai signalé à mes abonnés fin juillet, sur ma précédente lettre mensuelle, donc, les seules conditions seront (a priori) :

1/ Faire partie de mes abonné(e)s, bien sûr.

2/ Cliquer sur un lien vous menant à ma page auteur Amazon et de (si le cœur vous en dit) lâcher un commentaire sur l’une ou l’autre de mes publications (commentaire non obligatoire, je précise, mais ça fait toujours plaisir).

3/ Répondre à une question qui vous sera envoyée par mail au moment du jeu

4/ Le point le plus important : ne PAS utiliser le bon cadeau que vous aurez gagné pour acheter l’une ou l’autre de mes publications. Je suis sérieux, là. Sans blague.

Pour l’occasion, je vous fournirai une liste non exhaustive d’auteurs indépendants / hybrides / à découvrir selon moi (donc, « que j’apprécie ») proposant des ebooks à moins de 5 €.

Bien sûr, vous resterez libres d’utiliser votre gain de comme il vous plaira.

En guise d’information complémentaire, sachez que tous les participants au jeu-concours gagneront au moins 0,99 € de chèque-cadeau Amazon. Il n’y aura donc pas de perdants parmi les participants.

Pour vous inscrire à ma newsletter, c’est simple : cliquez ICI et indiquez-moi votre prénom et votre email (c’est soft, non ?).

Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi indiquer où vous avez entendu parler de ma newsletter, mais c’est facultatif.

En dehors de cet instant pub pour ma newsletter, à ce stade, très honnêtement, plusieurs sentiments se font jour en moi :

1/ J’ai hâte d’avoir enfin un produit fini à envoyer à des blogs pour obtenir quelques chroniques. Celles portant sur mon recueil intitulé « Chroniques d’une humanité augmentée » avaient été très positives, dans l’ensemble, et vous pouvez d’ailleurs toutes les retrouver en vous rendant ICI.

Vous pourrez écrire une chronique négative ou positive, d’ailleurs : c’est vous qui voyez. Je ne suis pas de ceux qui exigent une critique positive en échange d’un epub gratuit. Et puis quoi encore ?

Toute critique est bonne à prendre du moment qu’elle est objective.

Autrement dit : si vous ressentez soudain l’envie de chroniquer mon futur roman, n’hésitez pas à me contacter ! 😀

Par email (pascal.bleval@gmail.com) ou en commentaire sur cet article.

Vous pouvez aussi consulter une plaquette descriptive de ce roman, de mon recueil publié l’an passé et de plusieurs autres de mes écrits partagés ici ou là sur le net, sur cet ebook général de présentation.

2/ J’ai non moins hâte de passer au projet suivant. Ce sera un roman de fantasy un peu barré sur les bords, avec des personnages bizarres autant qu’étranges.

Le titre ? « Sous le regard torve de la lune bleue ».

Les personnages principaux :

Jack, mage bagarreur, nain drogué à la bière à la cerise.

Naphta, adoléchiante de seize ans, petite guerrière, mais costaude ! Elle cache un lourd passé derrière ses biscoteaux.

Gérald, elfe d‘adoption ou humain passé sous les mains d’un maegus aesthethikus, on ne sait plus trop. Philosophe à ses heures perdues.

Et d’autres, non moins décalés, dont un maitre sorcier nécromant, des démombres, une prophétesse éternelle, etc…

J’espère arriver à mes fins avec mon idée de base et ces personnages !

Souhaitez-moi bonne chance. 🙂

Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de semaine et vous dit « à la prochaine fois » !

Bien à vous,

Pascal Bléval.